Lorsque j'enseignais les arts plastiques à la Polyvalente de Jonquière, j'ai vécu un imbroglio linguistique des plus cocasses.
Un collègue s'amène à notre département et demande si quelqu'un de notre équipe possède un pick-up. «J'en aurais besoin pour une demi-journée!»
-Ça me fait plaisir de vous le prêter, lui dis-je.
Je me lève, cherche attentivement sur les tablettes de l'armoire, scrute les différents recoins de la salle de cours. Il n'est pas là. Un professeur l'aurait-il rangé dans l'entrepôt adjacent à nos bureaux? j'ouvre la porte de ce minuscule réduit, grimpe sur un petit escabeau, déplace mille objets pour enfin atteindre le fameux tourne-disque.
« Je l'ai!» dis-je triomphalement en lui tendant l'appareil. Je vois l'emprunteur qui me regarde d'un air stupéfait.
-…heu... je voulais dire un pick-up,... un truck,... un petit camion quoi!
Longtemps cette méprise de ma part suscita l'hilarité dans tout le département.
Je me lève, cherche attentivement sur les tablettes de l'armoire, scrute les différents recoins de la salle de cours. Il n'est pas là. Un professeur l'aurait-il rangé dans l'entrepôt adjacent à nos bureaux? j'ouvre la porte de ce minuscule réduit, grimpe sur un petit escabeau, déplace mille objets pour enfin atteindre le fameux tourne-disque.
« Je l'ai!» dis-je triomphalement en lui tendant l'appareil. Je vois l'emprunteur qui me regarde d'un air stupéfait.
-…heu... je voulais dire un pick-up,... un truck,... un petit camion quoi!
Longtemps cette méprise de ma part suscita l'hilarité dans tout le département.
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